Plus de la moitié des promoteurs immobiliers sont confiants par rapport à la santé du marché du logement. Ceux-ci se disent que le marché sera portera bien dans les mois à venir. Avec un taux d’intérêt très bas et l’accroissement du PTZ, cela montre que tout est fait pour que le marché décolle.

Ils sont près d’un quart à dire que le marché du logement sera prometteur dans les 12 mois à venir, une proportion qui augmente d’après une étude Crédit Foncier et CSA rendue publique lundi.

Quatre mois avant, au cours d’une première étude, on recensait 74% des professionnels de l’immobilier qui se sentaient confiant par rapport à la tendance du marché.

94% d’entre eux justifiaient leur optimisme par le taux d’intérêt de crédit relativement bas et 72% d’entre eux expliquent leur optimisme par rapport à l’accroissement du Prêt à taux zéro PTZ depuis le 1er janvier.

Par conter, 21% des professionnels qui doutent, parlent de la situation économique et 65% d’entre eux évoquent le pouvoir d’achat des ménages qui pourraient participer à sa baisse.

Dans les logements neuf 66% des professionnels du secteur questionnés indiquent les prix ne changeront pas alors que dans les logements anciens, les prix vont se stabiliser ils sont 52% à le penser. 55% d’entre eux disent que les échanges vont se fixer.

Cette étude réalisée entre le 29 août et le 5 septembre par téléphone, auprès d’un échantillon de 400 professionnels de l’immobilier.

D’autre part, une étude dévoilée par Meilleurtaux.com montrait depuis plusieurs jours que cette année est finalement l’année où il est bon d’acheter une maison.

Jamais l’achat d’une maison n’a été aussi lucratif comparé à la location. Le courtier immobilier a fait un calcul pour savoir en combien de temps l’acquisition d’une maison pourrait être profitable d’un point de vue financier. Au final, sur les 27 villes où l’étude a été faite, des villes comme Strasbourg, Grenoble, Orléans, Reims les personnes qui achètent une maison devront se rendre compte des bénéfices réalisés en achetant une maison avant trois ans. On remarque aussi cette tendance à Paris, où ce ressenti se fait au bout de 6,5 ans, alors qu’en 2015, il fallait 14,5 ans pour se rendre compte de la rentabilité du bien immobilier acheté.

Ces chiffres sont expliqués par la tendance portant sur les taux d’emprunt bas avec en plus la baisse de l’épargne qui devient de plus en plus attractive quand on achète une maison.